Principes de fonctionnement Lucia N°03 & PandoraStar

Environ 100 milliards de neurones se répartissent dans le corps, principalement dans la zone intra crânienne mais aussi ailleurs, notamment le cœur et le système digestif.

L’activité neuronale produit des courants électriques qui sont mesurés à la surface de la peau. Des chaines de neurones ont une activité synchronisée, plus ils sont nombreux plus le signal électrique est important en intensité. Les groupes sont manifestement synchronisés quand ils passent d’une activité maximum (pic) à une activité minimum à peu près tous en même temps.

Le nombre de fois où ce pic est atteint dans une seule seconde donne la fréquence en Hertz. Exemple : un signal électrique d’un groupe de neurones qui passent à leurs maximum 8 fois par seconde est un signal de 8 Hertz.

Classification des ondes cérébrales :

  1. Ondes Delta : 0 à 4 Hz. Sommeil profond
  2. Ondes Thêta : 4 à 8 hertz. Sommeil.
  3. Ondes Alpha : 8 à 12 Hz. Relaxation légère, créativité.
  4. Ondes Bêta : 12 à 45 Hz. Activité diurne standard.
  5. Ondes Gamma : 35 à 80 Hz. Activités intellectuelles supérieures.

Des bandes de fréquence spécifiques ont fait l’objet d’études qui ont mis en évidence certaines caractéristiques et ont ouvert des voies de recherche pour des applications scientifiques et technologiques :

  • Ondes Epsilon, de 0,1 à 0,5 Hz 
  • Ondes SMR, de 13 à 15 Hz
  • Ondes Hyper Gamma : 80 à 100 Hz
  • Ondes Lambda : 100 à 200 Hz

Des nombreux rythmes coexistent à chaque instant dans le cerveau, chaque état est caractérisé par l’intensité du signal dominant et par les intensités des autres ondes.

Process de fonctionnement des technologies de photo-stimulation

  • Les réseaux neuronaux ont tendance à s’accorder, à prendre un rythme semblable aux stimuli qu’ils traitent : sons et lumières pour exemples. Une lumière de fréquence d’environ 10 Hz favorisera la synchronisation des neurones sur ce même rythme, nommé Alpha dans la classification.
  • Les phosphènes de scintillement sans persistance rétinienne, phénomènes entoptiques complexes associés à l’optique et à la vision en tant que traduction neuronale d’un signal lumineux.

Les programmes de stimulation sont similaires à des partitions de musique symphonique, ils sont complexes et les effets qu’ils provoquent viennent beaucoup de la virtuosité de ceux ou de celui qui les a composés.

 

Les bandes de fréquences utilisées sont fondamentales mais ne constituent pas la seule condition déterminant chaque expérience individuelle.

Selon les études menées par VAJRA PRODUCTIONS en 2016 et 2017, la variété des expériences semble très vaste du fait des facteurs suivants :

Paramètre 1 : les programmes. Ils sont identiques à chaque lancement, à l’instar d’un morceau de musique. C’est le seul paramètre fixe.

Paramètre 2 : L’expérimentateur. C’est une variable en constant changement, ce qui produit en soi des expériences différentes avec par exemple un même programme PandoraStar.

Paramètre 3 : L’opérateur. Celui qui organise et anime la séance agit de plusieurs façons sur l’expérimentateur, modifiant les expériences au point où sur le nombre, on peut identifier certaines caractéristiques de l’opérateur.

Paramètre 4 : le lieu. Ce peut être un paramètre fixe quand l’utilisation de la technologie s’effectue toujours au même endroit, ou bien un paramètre variable quand la lampe est nomade.

Paramètre 5 : le facteur extérieur. Tout se passe comme si des éléments exogènes à l’expérimentateur, à l’opérateur, et au lieu, agissent parfois de manière ouverte sur la nature de l’expérience.

Quelles sont les contre-indications ?